Premier volet d’une fresque en deux parties, Disco inferno nous replonge au début des années 80, au moment où des malades du sida sont retrouvés assassinés. Un polar palpitant signé Jean-Christophe Grangé !
Deuxième volume d’une saga littéraire consacrée au Front populaire, Rue de l’espérance, 1935 reprend avec bonheur les mêmes ingrédients que le premier roman d’Alexandre Courban.
Hugues Pagan est de retour avec une nouvelle enquête de l’inspecteur Schneider. Ce flic taciturne et énigmatique aux faux airs du jeune Delon arpente inlassablement les rues d’une ville sans nom dans une intrigue touffue qui flirte par moments avec le fantastique. Magistral !
Description réaliste et sombre de la vie dans les Ozarks, le roman d’Eli Cranor s’inscrit dans la plus pure tradition du rural noir…
Annoncé comme un thriller événement, Strange Pictures, de l’énigmatique Uketsu, est un roman hybride qui mêle dessins et récit pour construire une énigme policière qui révèle en creux une société japonaise minée de l’intérieur.
Dans ce second épisode des aventures de Kalmann, on retrouve avec plaisir ce personnage singulier, l’idiot d’un petit village islandais, mais un idiot du village qui aurait oublié d’être bête.
Une colère simple est la troisième enquête de l’équipe de choc montée à Turin par Davide Longo dont la réputation de « nouvelle star du polar italien » est décidément bien méritée.
Sang d’encre à Marrakech est la seconde enquête de la détective Gabrielle Kaplan, la Nestor Burma au féminin du Maroc des années 50. Un roman dépaysant et instructif.
Crépuscule à Casablanca est polar old-style avec une détective façon Nestor Burma et un panorama très instructif de la géopolitique du Maroc dans les années 50.
Avec son sixième roman, qui oscille entre thriller et roman noir, l’Américain se renouvelle et nous offre une mécanique narrative parfaitement huilée, et qui ne cesse de nous surprendre pendant plus de 400 pages. Un régal !