[Netflix] Kingdom Saison 2 : les zombies du pays du matin (plus si) calme
Seconde saison à la fois spectaculaire et passionnante pour Kingdom, la série TV coréenne qui challenge aussi bien Game of Thrones que Walking Dead : une réussite !
Seconde saison à la fois spectaculaire et passionnante pour Kingdom, la série TV coréenne qui challenge aussi bien Game of Thrones que Walking Dead : une réussite !
Derrière les convenances d’un genre qui se prête à bien des excès, The Hunt se révèle comme un portrait cruel d’une Amérique déchirée.
LSD La série documentaire revient en 4 épisodes de 55 minutes sur les années post 1968 qui ont vu dans divers endroits du Monde la radicalisation des mouvements d’extrême gauche. Un passionnant documentaire signé Kristel Le Pollotec.
Loin des procédés d’immersion habituellement utilisés dans le genre documentaire, La cravate déploie une habile mise à distance qui, à travers le parcours d’un jeune militant du Front National, met en lumière les contradictions internes de ce parti d’extrême droite.
Faux thriller et vrai film-témoignage sur l’enquête menée par le Sénat américain sur les agissements de la CIA dans ses « black sites », The Report passionnera ceux que la chose politique interpelle.
Bonne nouvelle de Corée, voici Kingdom, une série qui semble de prime abord recycler les mécanismes des séries US à succès, mais transforme vigoureusement le tout, à la mode coréenne !
Tentative de réflexion sur la disparition des idées dans la politique de gauche, Alice et la Maire n’est malheureusement pas au niveau de ses ambitions, même s’il reste un constat salutaire…
En 7 épisodes captivants, la série de Tom McCarthy raconte le règne Roger Ailes, personnage médiatique complexe et influent qui lança en 1996 la toute puissante chaîne Fox News.
Pour son premier roman qui parait dans la prestigieuse Série Noire, le journaliste Thomas Cantaloube propose un récit palpitant dans un Paris trouble, sur fond de Guerre d’Algérie avec une IVe république qui vit ses dernières heures.
Le portrait d’un Président qui voudrait faire rire (le portrait, pas le Président), sans vraiment y parvenir. Dommage que le vitriol soit absent de cette BD un peu lisse, à l’image de l’intéressé.