« Mon mari » de Maud Ventura : histoire d’une femme amoureuse de l’amour
Avec un humour à froid assez mordant, Maud Ventura signe un premier roman qui évoque le quotidien obsessionnel d’une femme démesurément amoureuse de son mari. Jubilatoire !
Avec un humour à froid assez mordant, Maud Ventura signe un premier roman qui évoque le quotidien obsessionnel d’une femme démesurément amoureuse de son mari. Jubilatoire !
Quand on enterre la génération précédente, on fait souvent voler de la poussière poussée sournoisement sous les tapis, dans cette histoire signée Anne Duvivier, Hélène, Lila et Violette en font l’expérience amère mais aussi heureuse.
Entre légendes nordiques et préoccupations climatiques, Thomas B. Reverdy signe un roman foisonnant qui nous conduit aux confins de l’Arctique là où va se jouer un drame écologique et humain.
Louis-Philippe Dalembert raconte le blues, la misère et la peine de ces populations victimes de la violence de la vie, de la violence des institutions et de la violence de la culture, sans manichéisme ou simplification.
Pour son trentième roman, Amélie Nothomb écrit à la premier personne et prend la voix de son père, Patrick Nothomb décédé en mars 2020. Un récit touchant en forme de conte, fidèle au style plein de fantaisie de l’auteure Belge.
Le président d’une société met en concurrence Marius et Priscillia pour le poste de directeur général… Une belle satire de la société actuelle fondée sur le chiffre et le management made in US signée Marin de Viry.
Un roman riche, complexe et dense, qu’il faut lire parce qu’il qui nous rappelle des évidences saines sur le sens de la vie, des évidences qu’on a oubliées que Rosa Montero nous rappelle.
Double Nelson, le nouveau Djian, plus fantaisiste qu’à l’habitude, et sans doute moins noir, ne lui gagnera pas la sympathie de ceux qui le détestent déjà, mais pourrait marquer une évolution chez un auteur qui tournait un peu en rond ces derniers temps.
Cécile Coulon propose une histoire qui met aux prises des êtres à l’âme plus ou moins noire, qui sont le jouet de passions violentes et irrépressibles. Celles et ceux qui ont aimé les précédents devraient aimer Seule en sa demeure.
Tiffany Tavernier nous raconte Thierry, un homme qui ne pense qu’à lui-même et qui pense qu’il peut contrôler le monde et les autres. Et qui est seul. L’ami est un roman beau et violent, incroyablement émouvant par ce qu’il révèle sur cet homme vaniteux, égocentrique et perdu.