
« Mourir en juin » d’Alan Parks : le meilleur du polar écossais
Sixième enquête de l’inspecteur écossais Harry McCoy, Mourir en juin confirme l’excellence d’une série romanesque absolument remarquable. A ne pas rater !
Sixième enquête de l’inspecteur écossais Harry McCoy, Mourir en juin confirme l’excellence d’une série romanesque absolument remarquable. A ne pas rater !
Premier volet d’un trilogie annoncée, Bleus, Blancs, Rouges nous replonge dans la France de 1978, où l’on suit le parcours de deux jeunes flics. Un polar politique de 750 pages, nerveux et sans temps mort, qui confirme tout le talent de Benjamin Dierstein.
Daniel Kehlmann excelle toujours lorsqu’il se lance dans une biographie romancée, exofiction pour les puristes. Il ne déroge pas à la règle avec celle-ci, consacrée au cinéaste George Wilhem Pabst.
Chris Whitaker revient avec un roman magistral et imprévisible. S’étendant sur plus de trente ans, « Toutes les nuances de la nuit » confirme le talent de son auteur pour déployer une puissance émotionnelle de la première page jusqu’à la dernière.
Troisième volume des aventures de Mick Hardin, La Loi des collines est une nouvelle réussite d’un des auteurs majeurs du noir américain. Le Kentucky y est, une fois encore, le décor d’une intrigue policière au service d’une réflexion sur la justice et la responsabilité individuelle.
Silvia Avallone confirme à nouveau son talent avec Coeur noir, un roman à la fois âpre et poignant, creusant avec beaucoup d’émotions les notions de culpabilité et de rédemption.
Premier roman traduit en France du Gallois Morgan Greene, Tous des animaux est un thriller qui se révèle d’une rare efficacité. Un polar salué par Chris Whitaker et Jo Nesbø, ce qui n’est pas rien.
Dans ce roman d’apprentissage, loin des clichés sur Tokyo, nous suivons le parcours d’anti-héros, dans une pension miteuse, qui s’efforcent de vivre leur jeunesse, d’aimer et de profiter de la sérendipité. Un livre d’atmosphère à la belle écriture hors des sentiers battus.
« Une fratrie », de Brigitte Reimann est une œuvre remarquable, d’une grande force émotionnelle mais aussi un roman qui porte un message politique fort, d’une des plus grandes écrivaines est-allemandes du 20e siècle (quasiment jamais publiée en France).
Dans ce roman âpre, à l’image des Alpes valaisiennes où il se déroule, Sarah Jollien-Fardel exalte la force de l’amour face à la douleur dévastatrice de la mort d’un enfant. Un amour qui prend des voies aussi cruelles qu’inattendues.