« Empire of Light » de Sam Mendes : entre somnolence et dégoût
On savait Mendes très mauvais – malgré sa bonne réputation usurpée – mais avec Empire of Light, il bat tous les records d’insignifiance et d’incompétence. Un navet exemplaire.
On savait Mendes très mauvais – malgré sa bonne réputation usurpée – mais avec Empire of Light, il bat tous les records d’insignifiance et d’incompétence. Un navet exemplaire.
Indissociable des fêtes de fin d’année comme le sont la dinde, la bûche glacée, les chocolats pralinés, voici le bilan cinéma de l’année écoulée. En 2020, on a salué le travail de Emmanuel Mouret, Sam Mendes, David Fincher, Gu Xiaogang, Ben Affleck, Thomas Vinterberg…
Si nombreux sont ceux qui s’extasient sur l’immersion dans la Grande Guerre proposée par le 1917 de Sam Mendes, cette approche peut aussi susciter de sérieuses réserves. Revue de détail.
Pour son retour à un cinéma enfin débarrassé des contraintes d’un certain espion de Sa Majesté, Sam Mendes orchestre un grand film de guerre puissant et dévastateur qui fera date.
Un James Bond classieux et claudicant, et l’adieu aux armes pour un Daniel Craig de moins en moins inspiré.