« City of Darkness » de Soi Cheang : Entre les murs, la lutte à mort.
Avec City of Darkness, Soi Cheang ne corrige qu’en partie les défauts d’écriture de Limbo. Mais il redonne au cinéma hongkongais le goût des bastons martiales enragées.
Avec City of Darkness, Soi Cheang ne corrige qu’en partie les défauts d’écriture de Limbo. Mais il redonne au cinéma hongkongais le goût des bastons martiales enragées.
Seconde réalisation de Soi Cheang visible sur nos écrans français après Limbo, Mad Fate, film complètement fou, ne nous rassure pas sur le talent de ce metteur en scène qui est en ce moment le plus réputé à Hong Kong.
Cinq films étaient au programme de ce vendredi 17 mai avec, dedans, du bourre-pif chinois, du social britannique, du social roumain, une bipolaire au Japon et un réveillon américain. Résumés et avis à chaud…
Une esthétique hyper chiadée, un pseudo laïus social et quelques éclats de violence prompts à impressionner le plus blasé des spectateurs suffisent-ils à faire un grand thriller, éventuellement du grand cinéma ? Assurément non.