Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». 1966, c’est avant tout l’année de Pet Sounds…
A l’occasion de la sortie de leur 2e album, les Français de OPAC évoquent pour BENZINE 5 disques du moment ainsi que 5 disques de toujours qui leur tiennent particulièrement à coeur.
En plus d’être un journaliste spécialisé dans le foot anglais, Philippe Auclair est aussi un talentueux musicien et chanteur sous le nom de Louis Philippe. On profite de la sortie d’une compilation qui lui est dédiée pour évoquer quelques-uns de ses disques favoris.
Les Séries musicales de France Culture nous proposent de passer 4 heures en compagnie des Beach Boys à travers un documentaire en deux parties qui revient sur la carrière du groupe des frères Wilson, agrémenté de nombreux extraits musicaux.
Le plus beau feu d’artifice Pop pour 2021 nous est offert par un musicien artificier de talent nommé Olivier Rocabois avec son disque Olivier Rocabois Goes Too Far. Une œuvre roborative qui nous a donné envie de découvrir ses disques favoris.
Le nouvel album de Solaris Great Confusion (Untried Ways) fait partie des belles surprises et des petits bonheurs de l’automne dernier. Un bonheur aussi que de lire le 5+5 concocté par Stephan et Jacques et qui donne furieusement envie de réécouter tous les albums cités.
Sean O’Hagan et ses High Llamas continuent d’explorer la pop de chambre avec cette fois un BO pour un spectacle théâtral.
Premier rendez-vous de l’année et déjà premier grand plaisir : le nouvel album de Panda Bear envoie valser très haut, sous les étoiles, sa pop vocale et expérimentale. Voyage coloré, hypnotique et addictif.
Quand notre germain favori réapparaît, c’est pour un copieux menu : avec ses trois EP, le leader de Get Well Soon nous offre un beau tour d’horizon de ses talents. Indie rocker, crooner pop ou symphoniste délicat, l’allemand romantique éblouit toujours.
On a bien fait d’attendre avec confiance le nouvel album d’Owen Pallett. Le « In Conflict » du violoniste canadien, tissé entre électro et symphonique, se révéle un des grands rendez-vous de ce printemps, large paysage aux sommets pop d’une belle évidence et d’une grande lisibilité. Sa plus belle réussite ?