Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : Sticky Fingers, c’est le début de la transformation des Stones en PME rentable, c’est une pochette culte signée Warhol, et c’est aussi un chef d’œuvre.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire » : pour finir, Let It Bleed, l’album des Stones qui les établit comme le plus grand groupe de Rock de leur époque.
Depuis quelques étés, on a l’habitude d’écouter les belles histoires musicales de Michka Assayas. Cette année, il nous propose de revenir sur la carrière des Rolling Stones dans un podcast en 7 épisodes.
Meilleur que The Last Waltz, grâce à l’énergie des Stones et l’amélioration des moyens techniques de capture d’un concert, Shine A Light reste toutefois un concert filmé assez dispensable, loin de « l’événement historique » qui nous avait été vendu à sa sortie.
Ni horrible ni enthousiasmant, ni surprenant ni subtil, Hackney Diamonds est un album des Stones en 2023. Les détracteurs détracteront, les fans célébreront et les stades du monde entier se rempliront.
Les sorties de la semaine avec : Bombay Bicycle Club, Dylan LeBlanc, Sampha, Barry Can’t Swim, Le Spectre, Beharie, Charles-Baptiste, Marta Del Grandi, Lost Girls, Samy Thiébault, Crime & the City Solution, Hauschka, Verdance, Joseph Shabason, Bex Burch…
Les Stones, évidemment ! Une discographie pléthorique au milieu de laquelle bien des néophytes peinent à se retrouver : l’opportunité pour la collection Cover des Editions du Layeur de publier l’un de leur meilleurs livres, grâce au travail irréprochable d’Alain Gouvrion.