[Netflix] Le Silence du Marais de Marc Vigil : on patauge…
On espérait beaucoup de ce nouveau projet Netflix espagnol, porté par un acteur à la mode et une jeune équipe ambitieuse… Il ne manquait qu’un scénario digne de ce nom…
On espérait beaucoup de ce nouveau projet Netflix espagnol, porté par un acteur à la mode et une jeune équipe ambitieuse… Il ne manquait qu’un scénario digne de ce nom…
Eric Cantona, imposant de force et de détermination, incarne un DRH au chômage prêt à tout pour retrouver du boulot dans la mini-série Dérapages, un thriller social en 6 épisodes plutôt bien ficelés.
Si l’on n’attend plus forcément grand chose des thrillers de SF régulièrement mis en ligne par Netflix, on peut regarder Code 8 de Jeff Chan avec d’autres yeux, et le trouver plutôt intéressant.
Petite série suédoise (trop) discrète mise en ligne par Netflix en mars, Kalifat s’avère une très belle réussite sur le sujet difficile de la radicalisation islamiste, traitée du point de vue féminin.
Retour en ces temps de consommation compulsive de séries TV sur la très bonne première saison de The Sinner, honnête travail d’enquête « psychanalytique » sur l’origine de notre folie.
Le jeune cinéma espagnol visant une efficacité narrative et commerciale « à l’américaine » peut compter sur Netflix pour le produire. Mais est-ce toujours pour le meilleur ? Réponse mitigée avec Chez Moi…
Dans la saison 3 de OZARK, des tensions naissent au sein du couple Marty et Wendy Byrde. Pas facile la vie famille quand on gère un casino qui sert à blanchir l’argent d’un cartel, et d’autant plus quand il faut faire face à une cascade d’imprévus.
Avec Le monde n’existe pas, Fabrice Humbert construit un récit habile qui entremêle fiction et réalité. Un roman captivant doublé d’une réflexion sur les apparences.
Nous sommes grands fans, ici à Benzine, de la série originale Narcos, il était donc logique d’aller voir, même tardivement, si son « spin-off », Narcos : Mexico, allait s’avérer un digne rejeton de la saison-mère !
Le très récent catalogue VOD Apple TV+ crée la surprise en proposant d’emblée un objet curieux, malaisant et très réussi : Servant, oeuvre shyamalanienne en diable, où l’effroi n’est pas forcément là où on le penserait et voudrait.