Wind River – Taylor Sheridan
Fenêtre poignante sur le silence des Amérindiens. Brillant dans sa composition, déroutant dans ses regards, une violente réussite.
Fenêtre poignante sur le silence des Amérindiens. Brillant dans sa composition, déroutant dans ses regards, une violente réussite.
Un énième film d’anticipation qui peine à se démarquer, se perd dans une élucubration d’action-heroes, mais qui reste divertissant.
Pour son premier film, l’Australien Ben Young raconte les méfaits d’un couple de kidnappeurs et d’assassins dans un thriller atmosphérique assez dérangeant.
Max de Radiguès nous entraine dans la cavale d’une mère et de son fils poursuivis par leurs complices et par la police. Traque, règlements de comptes et révélations garantis !
Martin Scorsese produit Ben Wheatley qui fait du Quentin Tarantino alors qu’il aurait pu faire du John McTiernan.
Ozon avait matière à réaliser une grande œuvre schizophrénique, pleine de mystères et de séduction. A la place, il nous sert un thriller gentiment polisson.
L’étrange destin d’un tueur à gages érudit et poète, tourmenté par des visions d’un passé oublié, pourchassé par la mafia… Et si la poésie était sa planche de salut ?
Sorte de cauchemar domestique qui aurait parfaitement assimilé le meilleur de Polanski, Get out finit pourtant par décevoir quand il s’agit de conclure son intrigue.
Un survival coréen à base de tunnel et d’éboulis par le réalisateur de Hard day, plutôt plaisant mais révélant très vite ses limites.
Le Far West vu à travers cinq murder ballads adaptées en BD, ou quand les grands espaces de l’Ouest américain se révèlent le théâtre de crimes sans pitié.