Free fire – Ben Wheatley
Martin Scorsese produit Ben Wheatley qui fait du Quentin Tarantino alors qu’il aurait pu faire du John McTiernan.
Martin Scorsese produit Ben Wheatley qui fait du Quentin Tarantino alors qu’il aurait pu faire du John McTiernan.
Ozon avait matière à réaliser une grande œuvre schizophrénique, pleine de mystères et de séduction. A la place, il nous sert un thriller gentiment polisson.
L’étrange destin d’un tueur à gages érudit et poète, tourmenté par des visions d’un passé oublié, pourchassé par la mafia… Et si la poésie était sa planche de salut ?
Sorte de cauchemar domestique qui aurait parfaitement assimilé le meilleur de Polanski, Get out finit pourtant par décevoir quand il s’agit de conclure son intrigue.
Un survival coréen à base de tunnel et d’éboulis par le réalisateur de Hard day, plutôt plaisant mais révélant très vite ses limites.
Le Far West vu à travers cinq murder ballads adaptées en BD, ou quand les grands espaces de l’Ouest américain se révèlent le théâtre de crimes sans pitié.
Dans « Personal shopper », Assayas s’aventure dans le mélange des genres, s’y perd, y croit, y brille, avec Kristen Stewart en muse fantomatique.
American Crime Story est une enquête de haute facture, rythmée, incisive, un récit à tiroirs, porté par des acteurs habités et un souffle dramatique retrouvé pour Ryan Murphy.
Les Humanoïdes Associés nous livrent la suite d’un triptyque catastrophe, où le titre à lui tout seul est évocateur des événements à venir !
Sorte de condensé de cinéma d’action coréen, ce thriller transgenre signé Jin Jang mérite d’être vu avant tout pour sa singularité.