Le Nosferatu de Robert Eggers n’est pas dénué de qualités, que ce soit d’un point de vue esthétique ou du côté de la prestation de Lily-Rose Depp. Il souffre hélas d’arriver après une déclinaison à outrance par le cinéma de la mythologie vampirique.
Adaptation luxueuse et très élégante du roman de Richard Malka, Le Voleur d’amour suit un vampire bien particulier à travers les siècles et le globe, et renouvelle de manière pertinente le mythe inusable du monstre buveur de sang.
Buffy contre les vampires est considérée comme une grande série « pop » avant l’heure des grandes séries. Avec leur ambition habituelle, les éditions Playlist Society publient ce qui pourrait bien être l’ouvrage de synthèse définitif sur Buffy.
En voulant mêler Stephen King, Lovecraft et Bram Stoker dans leur Chapelwaite, les Frères Filardi sont passé à côté de ce qui aurait pu être une très belle série fantastique d’inspiration gothique.
Excellente surprise malgré un résultat final pas totalement convaincant, Post Mortem : Personne ne meurt à Skarnes est la série norvégienne du moment, traçant un chemin original entre vampires, Six Feet Under et Fargo.
Si, en période de repos estival, on pourrait éventuellement se laisser séduire par le pitch de Blood Red Sky, il vaut mieux éviter de perdre deux heures devant ce film passablement ennuyeux qui accumule progressivement les pires erreurs possibles.
Auteur brésilien de comic books à la réputation croissante, le surdoué Danilo Beyruth modernise à son tour le mythe du vampire en le transposant à São Paulo : le résultat, Love Kills, est bluffant graphiquement. Mais est-ce suffisant ?
Bien plus qu’une enième adaptation de Dracula, cet album est un hommage somptueux et très fidèle au roman de Bram Stoker. Le célèbre monstre des Carpathes n’a pas fini de hanter nos nuits…
Delcourt vous propose de retrouver le majestueux comte Dracula, la perverse Lucie et la troublante Mina, tous croqués en 1992 par un jeune prodige dénommé Mike Mignola.
Un an, presque jour pour jour, après le lancement de sa nouvelle héroïne monstrueuse, Aspirine, Joann Sfar publiait un second tome de ses aventures, suggérant que cette saga pourrait bien désormais occuper une place centrale dans son œuvre pléthorique…