« Adieu les cons » : Albert Dupontel fait craquer la mécanique du cœur
Après la parenthèse plus conventionnelle d’Au revoir là-haut, c’est peu de dire que la fantaisie, l’inventivité et l’acidité du regard de Dupontel manquaient au cinéma français, et qu’on ne pouvait que se re réjouir de le voir nous proposer un nouvel opus de son cru.